Saint Laurent du Maroni (Guyane)

Publié le par luc

Passé colonial et d'administration pénitentiaire, Saint Laurent du Maroni a hérité de monuments magnifiques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une main d'oeuvre gratuite et la présence d'une briqueterie ont permis l'édification de quelques splendides bâtiments.


De petits murets font office de clôtures.














C'est à Saint Laurent que sont arrivés les premiers convois de forçats.
Le camp de la Transportation, la plupart des bâtiments ont été restaurés, nous montre les épouvantables conditions de détention des bagnards.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Henri Charrière dit "Papillon" sera dans la cellule 47. Il y inscrira son nom.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 














Le fleuve le Maroni est la frontière naturelle avec le Surinam. Beaucoup de Noirs marrons et de Surinamiens ont trouvé refuge dans la région et y sont restés.







Dans le marché couvert, nous avons rencontré "Raphaël" qui tient, avec sa femme Hmong, un restaurant. Excellente cuisine et accueil chaleureux.
A l'origine, il était venu en Guyane pour trouver de l'or, ....... et faire fortune !













A propos de l'orpaillage, nous avons croisé , sur l'Oyapock, les pirogues qui ravitaillent régulièrement les sites d'orpaillage clandestins.
Dans la ville d'Oiapoque (Brésil) on peut régler ses achats, dans les magasins, avec de l'or. Les balances sont sur les comptoirs !
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